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Si vous êtes en Bretagne du 10 au 15 mai, offrez vous une superbe balade en mer sur l’un des bateaux de légende, Barba Negra. Le bateau qui est réellement légendaire, sera à Lorient pour 5 petits jours, avant de repartir pour son port d’attache aux Etats-Unis. Barba Negra, à sa construction, portait un gréement de « galeas ››, sorte de goélette scandinave dont les deux mâts sont à peu près de même hauteur, mais dont la grand-voile est souvent plus petite que la misaine si sa bôme est plus courte que la bôme de misaine. Barba Negra fut, semble-t-il, construit pour la chasse à la baleine dans l'Arctique, activité qu'il effectua pendant ses quatre premières années, avec un canon lance harpon à l'étrave. En 1900, le bateau passa au transport du poisson, des Lofoten et de la Norvège septentrionale vers les villes du Sud. Il ne fut motorisé qu'en 1956 et continua le cabotage au moteur jusqu'en 1970 où il fut racheté par ses propriétaires actuels, M. Albert Seidl, maître charpentier de marine allemand et son associé, M. Gerhard Schwisow, allemand lui aussi. Ceux-ci le rebaptisèrent Barba Negra et l'immatriculèrent sous pavillon du Canada avant de le convertir en un pittoresque trois-mâts barque équipé pour l'observation des baleines, la recherche baleinière et le charter aux Antilles. Il a participé à un certain nombre de films, et reçu à son bord le commandant Jacques-Yves Cousteau au cours de l'un de ses voyages de recherche. Barba Negra vint au Royaume-Uni en 1974 et participa à la revue du yacht royal HMS Britannia, dans le Solent, devant Cowes : la photo y fut prise. En 1976, Barba Negra se joignit à la course des Grands-Voiliers du bicentenaire américain, aux Bermudes. Il portait un canon lance-harpon à l'étrave et, dans le mât de hune, un nid-de-pie surmonté du pavillon noir des pirates. Le capitaine Seidl, avec sa barbe et son perroquet sur l'épaule, jouait à merveille son rôle. Il faut dire que le capitaine Seidl n'est pas seulement un charpentier de marine, mais aussi un artiste, et que Barba Negra lui sert d'atelier flottant. Quelques années plus tard, Barba Negra, basé à Savannah, en Géorgie, et battant pavillon des États-Unis comme un yacht sans nationalité, alors qu'il était toujours immatriculé à Halifax, au Canada, était utilisé comme centre d'éveil pour l’environnement maritime et comme atelier d'art. Il devait participer àla New York OpSail 86, mais nécessitait une remise en état qui fut retardée, le capitaine Seidl ayant été brusquement recruté comme charpentier pour la construction des dragueurs de mines dont la marine américaine avait besoin de toute urgence pour dégager le golfe Persique, miné pendant la guerre Iran-Irak. Barba Negra resta donc à Savannah et ne participa pas aux manifestations de la New York Opsail cette année-là. Au début de 1992, il était toujours à Savannah pour s'équiper d'un nouveau mât dans le cadre d'un vaste programme de reconstruction. Ses propriétaires sont toujours les mêmes et le capitaine Seidl et son perroquet - le même qu'en 1976 – sont toujours à bord. Barba Negra a repris ses activités de navigation en 1993. Suivez le lien pour obtenir plus d’info sur cette sortie en mer extraordinaire.

J’ai vu sur un site de préservation des dauphins, une belle histoire d’une famille partie à la pêche, en Polynésie quand même, se faire escorter par des orques et de baleines. J’en rêve. L’histoire est très belle. Ainsi, Henry revenait bredouille d’une partie de pêche en famille quand son fils a cru voir des dauphins, nombreux dans cet archipel. En s’approchant, les pêcheurs ont cru qu’il s’agissait de baleines à bosse, qui viennent se reproduire en cette saison. Mais ils ont rapidement réalisé qu’il s’agissait d’orques, qui ont nagé tout autour du petit bateau pendant une dizaine de minutes. "On s'est fait surprendre, on regardait ceux qui étaient devant, et c'est ceux de derrière qui nous ont surpris, ils sont carrément passés sous le bateau, tranquilles, avec les petits, une grosse famille" a déclaré Fred Henry à l’AFP. "Ils étaient très zen, plus zen que nous d'ailleurs !", a-t-il ajouté. Son film montre les orques en train de se croiser sous et devant le bateau, avec en toile de fond les îles de Tahiti et Moorea. Deux sous-espèces d’orques coexistent en Polynésie. L’une se nourrit de poissons, l’autre de mammifères marins. Si les orques observées font partie de cette deuxième sous-espèce, elles ont pu se rapprocher des côtes pour attaquer des baleines, selon le docteur Michael Poole, spécialiste des mammifères marins à Moorea. "Les orques résident toute l'année en Polynésie. Il y a une migration des baleines à bosses, mais pas des orques dans nos eaux", précise-t-il. Une autre spécialiste de biologie marine, le docteur Agnès Benet, a incité les surfeurs à la "prudence", tout en soulignant qu'il n'y avait "jamais eu d'attaque" en Polynésie. A noter que ces espèces sont protégées, et qu’il ne faut pas non plus faire n’importe quoi à proximité, comme le rappelle cette association qui lutte pour la préservation des dauphins (suivez le lien pour plus d’info).

Il est intéressant de noter que la technologie a du bon, et y compris pour nous aider à lutter contre nos peurs, même lorsqu’elles ne sont pas rationnelles. Exemple avec la peur de prendre l’avion. De nombreuses personnes ont peur en avion car elles ne savent pas pourquoi un avion de certaines centaines de tonnes peut opérer dans le ciel sans tomber. Il est intéressant de redire certains principes aérodynamiques de sorte de vous enseigner comment fonctionne un aéroplane. Le 1er principe aérodynamique est la portance. De fait portance est une caractéristique naturelle, que l’on visualise aussi sur l’aéronef que sur les oiseaux. Ainsi que l’aéronef accélère, l’air circule sur, et sous l’aile. L’air qui navigue au dessus de l’aile est plus rapide que celle défilant en dessous de celle-ci, produisant ainsi un effet de portance. La caractéristique est que l’aéroplane est donc tiré vers le ciel. L’air passe plus dynamiquement au dessus de l’aile du à son allure bombée. L’aérodynamique qui aspire l’avion vers le ciel, résiste au poids de l’aéroplane qui le l’entraine vers la terre ferme. Mais plus l’accélération est élevée – plus exactement plus le changement de célérité est élevée, plus la sustentation est intense, retenant l’aéroplane dans les cieux. Les moteurs sont en conséquence considérables, puisque ce sont les propulseurs qui permettent de faire aller l’aéroplane et de réaliser ce précepte d’aspiration. Un second facteur de peur courante est celle supposé que si les propulsions stoppent, l’aéroplane chutera vers le sol. Il s’agit d’une occurrence très rare, mais si l’aéroplane ne fonctionne qu’avec un propulseur, singulièrement à cause d’un incendie, celui-ci sera fermé depuis le cockpit, et l’aéronef continuera son cap avec une seule turbine, qui est amplement satisfaisant pour poursuivre le vol. Dans l’hypothèse encore plus rare dans laquelle les deux moteurs défaillent, l’avion, à cause de son aérodynamisme et au caractéristique de portance, pourra planer pendant vingt minutes à peu près sur une distance de deux cent kilomètres, deux cent cinquante kilomètres, ce qui est abondamment satisfaisant pour choisir un lieu d’atterrissage. Avec les gros aéronefs qui bénéficient de 4 moteurs, il est insolite que tous les moteurs défaillent au même moment. Finalement, les ailes. Quelques voyageurs s’affolent de constater les ailes s’arrondir, particulièrement quand il y a de trous d’air. Les ailes sont conçues pour s’infléchir. Aujourd’hui, la technologie qui est utilisée pour lutter contre cette peur de l’avion est celle du simulateur de vol. Les personnes ayant cette phobie se mettent aux commandes d’un avion dans un simulateur pour ne plus avoir peur. Pour en savoir plus sur cette technique allez sur l’onglet simulateur de vol de ce site spécialisé.

Je viens de participer à l’ouverture du séminaire international sur la promotion de la médiation en Méditerranée. Cela se faisait à Rabat, pour ensuite poursuivre à Marrakech. Qu’est-ce donc que la médiation me demanderez-vous ? La médiation est devenue au XX° siècle une pratique ou une discipline qui vise à définir l'intervention d'un tiers pour faciliter la circulation d'information, clarifier ou rétablir des relations. Ce tiers neutre, indépendant et impartial, est appelé médiateur. La définition de cette activité varie selon les contextes d'application. Néanmoins, des constantes existent à chaque fois qu'un tiers intervient pour faciliter une relation ou la compréhension d'une situation et des éléments de pédagogie et de qualité relationnelle se retrouvent dans les pratiques de la médiation. Particulièrement popularisée en matière de résolution des conflits, elle présente différentes conceptions liées à celles relatives à l'individu. Et bien là, c’est la même chose, mais à l’échelle des pays et de manière internationale. Cette rencontre s'inscrit dans le cadre des réunions prévues par le plan d'action établi par le Maroc et l'Espagne, en tant que présidents de l'Initiative maroco-espagnole sur la promotion de la médiation en Méditerranée. S'exprimant à l'ouverture de ce séminaire, le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération, Saad Dine El Omani, a mis l'accent sur la nécessité de recourir davantage à la médiation, compte tenu des mutations et bouleversements que connait le monde sur le plan géopolitique, ainsi que du changement de la nature des conflits et des différends et leur complexité. La réalité est de savoir ce que deviendront l’analyse et la résolution des flux migratoires qui posent tant de problème en Europe. Lors de la deuxième moitié du 20ème siècle, le Maroc s'est transformé en l'un des principaux pays d'émigration du monde. Les marocains constituent une communauté de migrants parmi les plus larges et plus dispersées en Europe de l'ouest. La population actuelle du Maroc est autour de 30 millions; plus de deux millions de personnes d'origine marocaine vivent actuellement en Europe de l'ouest. Plus récemment, un nombre croissant de migrants marocains s'est installé au Canada et aux Etats-Unis. Recevant 3,6 milliards de dollars en transferts de fonds des émigrés en 2003, le Maroc était le quatrième plus grand récepteur de transferts de tous les pays en voie de développement. Entre-temps, le Maroc semble devenir un pays de transit et même d'immigration pour des migrants de l'Afrique subsaharienne. C’est donc très loin d’être négligeable. C’était très bien, et pour moi personnellement, les aventures marocaines se poursuivent notamment par l’organisation d’un séminaire à Marrakech. J’ai hâte.

J’adore Londres, c’est une ville magnifique, mais qui commence à sentir et faire voir les effets de la crise. Cela en devient difficile, notamment dans les quartiers à l’est de la ville, qui sont traditionnellement plus pauvre. Paradoxalement, Londres n’a jamais autant attiré les riches. Il y a même eu un séminaire à Londres sur le statut des riches et comment faire pour inciter encore plus à venir investir sur l’île britannique. Mais maintenant, pour la troisième fois depuis le début de la crise, l’économie britannique est entrée en récession au quatrième trimestre 2012. Alors que le FMI a exprimé ses doutes sur la politique d’austérité menée par le gouvernement de David Cameron, les effets de la rigueur se font sentir au quotidien. Aucun secteur n’est sanctuarisé, les cordons de la bourse se referment partout, y compris pour les hôpitaux ou les casernes de pompiers. Les quartiers défavorisés du Sud et de l’Est londoniens, très dépendants des services publics, sont les premiers touchés. L’hôpital de Lewisham dans le sud de Londres est un des fleurons du National Health Service, le système de santé anglais hérité de la Seconde Guerre mondiale. Dans cette municipalité ayant la plus faible espérance de vie masculine du Grand Londres, l’établissement parvenait à maintenir un bilan financier positif. Cela n’a pourtant pas arrêté Matthew Kershaw, l’administrateur désigné par le gouvernement pour réformer le NHS du sud londonien, de proposer le démantèlement de plusieurs de ses services dont celui des urgences et celui des maternités. Ce plan permettrait de ramener plus de patients, et donc de profits, à l’hôpital voisin Queen Elizabeth, profondément endetté. Or cet hôpital, où un patient sur cinq attend déjà plus de quatre heures pour être pris en charge, devrait faire face à cette nouvelle affluence en réduisant son budget de… 39 millions de livres supplémentaires ! Si le plan de restructuration était appliqué, les 750 000 habitants des municipalités de Lewisham, Greenwich et Bexley se partageraient un unique service d’urgences hospitalières. La situation est donc tendue. Il est important que les britanniques sortent de la crise. Néanmoins, la crise a du bon comme le précise l’agence Séminaire Londres puisque la livre se déprécie par rapport à l’euro, ce qui rend les évènements moins chers pour le reste de l’Europe, y compris prestations loisirs, ce qui devrait attirer de très nombreux touristes. Source : Séminaire Londres.